Le 29 septembre, les psychologues se sont mobilisé.es pour dénoncer la dégradation de leurs conditions d’exercice et le mépris avec lequel la profession était traitée :
Recrutement insuffisant dans les différents services publics empêchant ainsi la prise en charge dans les services de soins mais également tout le travail de prévention et de soutien dans les différentes institutions (Éducation nationale, protection de l’enfance, aide sociale), externalisation et privatisation, développement de la précarité.
Avec tous les autres salariés, ils ont participé aux défilés pour la revalorisation du pouvoir d’achat et le refus du déclassement salarial subi par les psychologues dans tous leurs champs d’exercice. A Paris, derrière la banderole unitaire, ils ont scandé leur refus de la précarité, des « uber-psy », et de l’encadrement de leurs pratiques.
L’action du regroupement intersyndical et inter associatif va se poursuivre par une interpellation des élus pour la prise en compte de leurs revendications lors de l’examen du prochain projet de budget.